Original article by Chichi Tsai ’22.
Cristina Rodríguez, la professeur Leighton Homer Surback de Loi à l’Université de Yale, a donné le premier discours du Colloque Présidentiel 2019-2020 le jeudi 19 septembre, 2019. Son discours, “Le Président, la loi d’immigration, et la politique de la structure constitutionnelle,” a essayé de nous donner un aperçu plus profond de la loi d’immigration aux États-Unis en regardant les tensions historiques et d’aujourd’hui entre les pouvoirs exécutifs et législatifs.
Malgré “qu’il serait plus difficile d’orchestrer deux contrastes plus grands” que la différence entre les approches à la politique d’immigration des administrations d’Obama et Trump, Rodríguez indique que les deux partagent une similarité: la dépendance sur un méthode exécutif plutôt que législatif pour promulguer leurs visions. Quand il était en poste, Obama a utilisé un ordre exécutif pour créer DACA, une programme qui permet les migrants “sans documents” qui sont entrés aux États-Unis comme enfants de rester au pays provisoirement. En 2017, par ordre exécutif, Trump a fait une pause de la Programme de relocalisation des réfugiés et provisoirement a interdit les non-citoyens des É-U de sept pays majorité-musulman d’entrer dans les É-U. Les actions des deux administrations ont poussé les critiques à se demander si les présidents récents ont exercé trop de pouvoir sur les lois d’immigration, un pouvoir qui doit être retourné à la filiale législative. Rodríguez affirme que cette tendance n’est pas du tout nouvelle. Historiquement, la loi d’immigration avait été “un encadrement” dans lequel les présidents peuvent intervenir pour déterminer les détails spécifiques. Les administrations précédentes avaient utilisé les pouvoirs exécutifs pour “répondre aux déficits législatifs” dans un moyen souple et opportun, souvent pour résoudre les conflits des dossiers des réfugiés ou de la politique étrangère.
Cela dit, Rodríguez admet que dans le passé, “les pouvoirs exécutifs avaient été traditionnellement plus ouverts à l’immigration que les pouvoirs du Congrès. De plus, les présidents avaient été plus raisonnables, pour le poser avec tact. Aujourd’hui, nous se retrouvons nez à nez avec la question de si on doit avoir “la foi continuelle” dans le dynamique des pouvoirs exécutifs et du Congrès, ou s’il y devait y avoir un mouvement plus grande de contrebalancer les capacités présidentiels. Rodríguez croit que l’agence exécutive doit “retenir la flexibilité en se remuant les politiques” à partir des domaines de la loi d’immigration, comme la domaine des chercheurs d’asile, malgré que l’administration de Trump souvent justifie incongrûment, ses actions et ses visions de la loi d’immigration, “que beaucoup d’entre nous peuvent croire d’être moralement insolvable.” Concernant les soucis que le président pourrait dépasser ses limits, Rodríguez offre d’espoir en expliquant quelques routes à les solutions. Une est à travers les agences judiciaires, où “les courts plus base avaient été plus actives en testant la légitimé constitutionnelle des actions exécutives.” Rodríguez cite aussi un cas en juin dans lequel l’administration de Trump a essayé d’ajouter une question au recensement, comme un signe prometteur, notant les remarques du Cour suprême qui disent qu’il y a “un déconnexion entre les décisions faites et les explications données” par l’administration de Trump. Rodríguez souligne aussi les protestations et le discours politique comme les moyens de s’assurer que les pouvoirs exécutifs sont utilisés “raisonnablement” et que les explications sont fondées dans la vérité.
Selon le Project Rhodes, Cristina Rodríguez est devenue la première professeur hispanique de l’École de la Loi à Yale lorsqu’elle a été engagé en 2013. Plus tôt, elle avait servi comme l’Assistant adjointe d’Avocat générale pour le Bureau de conseil juridique dans l’Agence de Justice des États-Unis. Son livre imminent, “Le Président et la loi d’immigration” était aussi écrit par Adam Cox et on s’attend à sa publication en mai 2020.